Partie 5, entre Alpes du nord et Alpes du Sud
Je suis à Cervières, non loin de Briançon, pile entre Alpes du Nord et Alpes du Sud. Petit déj de sportif (yaourt, céreales, fruits, thé), je suis pret dès 09h00 pour une journée de roulage avec peu de kilometres mais des paysages sompteux, au programme : Col d’Izoard, Col de Vars, Fouillouse, la vallée de l’Ubaye, le col de la Bonette et Barcelonnet pour établie mon camp de base des prochains jours.
Entre Certivières et Izoard, il y a quoi …. 10Km , donc forcément j’y suis très rapidement.




La fameuse stèle du Col d’Izoard






et les fameux virolos






Une halte s’impose pour un thé (et oui, pas un café, mais un thé, rappel : j’ai entamé mon régime elimentaire cause calcul au niveau de la vésicule biliaire et donc le café est fortement déconseillé, pour me reveiller il me faut un équivalent plus leger : du thé) mais la tentation est grande devant les patisseries de montagnes…


C’est au travers d’une discussion entres touristes à la terrasse que l’on vient de me parler de Fouillouse , je ne connais pas , c’est sur mon itinéraire, je ferais une halte pour voir le fameux pont de Fouillouse. En attendant, je suis sur des routes sublimes :






J’ai vraiment de la chance, aujourd’hui la météo est magnifique et il commence à faire hyper chaud. Une halte pour dejeuner est à trouver car oui il est l’heure , direction le col de vars, on verra bien ce qu’on trouvera. Oh un refuge Napoléon et il y a un restaurant dedans, magnifique , ça sera là pour mon déjeuner : panaché, tagliatelles carbo (tout maison) , et sorbets en dessert 😉






De quoi repartir en plein forme pour le Col de Vars




Et là j’ai été paparazzé 😉



Les photos sont belles mais elles sont cheres, mais bon ça me fait un supersouvenir (et pis roulant tout seul , j’aurais eu du mal à prendre les mêmes) .
Bon, me voilà arrivé au fameux Fouillouse, ouah quel pont, on se croirait dans un décor à la James Bond, un pont vertigineux, je n’en avais jamais entendu parlé, incroyable. En discutant avec des cyclistes, il me dise qu’on peut le traverser pour rejoindre le village plus loin : j’y vais.








Je suis monté au village, bon c’est un petit village completement isolé sympa mais je ne suis pas venu pour ça. Je reprends la route, mais ça chauffe pas mal, je longe l’Ubbaye, il doit bine y avoir un moyen d’y tremper les jambes, je cherche , je cherche, et je trouve.






Il faut reprendre la route, direction Barcelonette et le col de la Bonette.
Le col est accessible par la route de la Bonette qui passe par le faux col de Restefond (2 638 m) et quelques mètres en dessous du col de Restefond (2 680 m) sans toutefois l’emprunter[3]. Pour cette raison, on parle parfois du col de la Bonette-Restefond, les deux cols étant situés à proximité l’un de l’autre. Comme la route, le col est fermé en hiver.
Le col de la Bonette s’élève à 2 715 m, ce qui en fait le col le plus élevé de Provence. Il existe trois cols routiers alpins dont les altitudes sont supérieures à celui-ci : les cols de l’Iseran (2 764 m), du Stelvio (2 758 m) et Agnel (2 744 m). En revanche, depuis le col, une route permet de faire le tour de la cime de la Bonette (2 860 m). Cette route est appelée (improprement car ce n’est pas un col) col de la Cime de la Bonette et son point culminant atteint 2 802 m.
Une première pour moi, j’immortalise le moment en photo.
















Je redescend, direction Barcelonette, après quelques courses, je rejoind mon camping et mon camp de base pour les jours à venir pour une bonne nuit.
La suite demain 🙂
Pour rappel, mon roadtrip 2025 a été répertorié sur le site et l’application Polarsteps : https://www.polarsteps.com/CritoF/18031031-roadtrip-2025